Le Revenu répond aux questions de ses abonnés. (© DR)
Est-ce intéressant d'acheter la nue-propriété d'un logement ? Quelle est la répartition idéale entre immobilier et placements financiers ? Que penser des SCPI et foncières cotées ? Découvrez les réponses du Revenu à huit questions posées par nos abonnés.
«J’achète un deux-pièces à Paris. Le vendeur insiste pour être assisté par son propre notaire. Devrais-je payer plus de frais s’il y a deux notaires ?»Non, ces frais que l’on appelle communément frais de notaire sont réglementés. Leur montant est fixe, quel que soit le nombre de notaires qui interviennent dans l’acte. S’ils sont deux, ils se partagent le montant des frais. Pour l’acheteur qui acquitte ces sommes, cela ne change rien.
Les frais de notaire représentent environ 7 à 8% du prix d’acquisition dans le cas d’un logement ancien (3 à 4% dans le cas du neuf). Rappelons qu’ils correspondent aux honoraires du notaire, aux droits fiscaux et au coût des différentes formalités.
«On me propose d’acquérir la nue-propriété d’un logement…»L’achat de la nue-propriété d’un appartement fait partie des bons plans du moment. L’idée est simple : vous n’achetez que la nue-propriété, soit le droit d’être pleinement propriétaire dans quinze à dix-huit ans selon la durée du montage.
Pendant toutes ces années, votre logement est loué par un bailleur social. Intérêt du montage pour le nu-propriétaire: il ne paie que 50 à 70% du prix du bien en pleine propriété. Attention, vous vous engagez sur de nombreuses années.
«J’envisage d’employer l’argent de mon PEE pour m’agrandir. Quand dois-je effectuer le retrait ?»L’achat de son logement, que vous
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